agit au quotidien afin d'offrir aux générations futures une planète vivante.
La fondation de notre histoire
Depuis 1990
nous œuvrons pour mettre un frein
à la dégradation de l'environnement et construire un avenir où les humains vivent en harmonie avec la natureest
l'une des toutes premières organisations
indépendantes de protection de l'environnement dans le monde, avec un réseau actif dans plus de 100 pays et fort
du soutien de près de 6 millions de membres.
Nos espèces
Tigre
Passe-temps des colons anglais et des maharadjahs, la chasse aux trophées a longtemps été la première
cause de disparition du tigre. Désormais interdite dans tous les pays où vit le félin, le braconnage, la
mise en culture de grandes surface de terres et la raréfaction de ses proies sauvages sont à présent les
principales causes de son déclin.
Hippopotamus
L'Union internationale pour la conservation de la nature classe les hippopotames comme vulnérables à
l'extinction. Bien que l’hippopotame n’ait pas beaucoup de prédateurs, il est menacé par le braconnage pour
sa viande, sa graisse et ses dents en ivoire. D'autres menaces incluent la perte de son habitat et les
conflits homme-hippopotame. Parce que l’espèce se reproduit lentement, les menaces peuvent avoir un impact
significatif sur les effectifs de la population.
l’ours brun
Aujourd'hui, le territoire de l’ours brun s'est considérablement réduit, du moins en Europe de
l'Ouest. Si en Finlande ou en Suède on peut dénombrer quelques centaines d’ours, il n’en subsiste que
quelques dizaines dans les Pyrénées, une centaine dans les Monts Cantabriques en Espagne et dans les
Abruzzes italiennes, à peine 30 en Autriche. Malgré une prise en compte de la conservation cet animal au
niveau européen le retour de l’ours se fait très lentement sur les territoires où il avait disparu au siècle
dernier
Wallaby des rochers
wallabies des rochers voient leur habitat naturel reculer au profit de l’élevage des ovins, de
l’expansion de l’agriculture et des infrastructures industrielles mais aussi en raison des incendies de
forêts ou de brousse, véritable fléau dans ces régions.
Dauphin
La répartition côtière du dauphin de Guyane en fait une espèce particulièrement sensible aux menaces
anthropiques et aux captures accidentelles dans les filets de pêche.
Loutre
Autrefois largement présente en Amérique du Sud, la loutre géante a connu une réduction drastique de
ses effectifs sous l’effet de différentes pressions liées à l'activité humaine. Aujourd’hui encore, le
devenir de l’espèce est incertain.
Requins
Les requins ne se reproduisent pas aussi vite que les autres poissons : la surpêche, à laquelle
viennent s’ajouter les captures accidentelles, a donc un impact bien plus conséquent sur leurs populations
aujourd’hui disséminées.
Antilope tibet
On estime que la population de chirous a décliné de plus de 50% au cours des 20 dernières années. Le
chirou a autrefois occupé la totalité du plateau tibétain et comptait plus d’un million d’animaux, mais il
est désormais absent de toute ou presque toute la partie orientale du plateau.
L'argali
L'argali est menacé sur toute son aire de répartition. Il doit faire face à une menace toute
particulière : l’interférence avec les troupeaux de moutons domestiqués ; les deux espèces se retrouvent
en effet en concurrence sur les pâturages.
lynx
Le lynx peut vivre aux côtés des humains à condition de ne pas être dérangé pendant ses
activités de chasse et de reproduction. On estime la population européenne de lynx boréal à 9 500 individus.
Comme elle est extrêmement morcelée, toute atteinte à chacun des noyaux relictuels de population risque
encore de réduire son aire de répartition. Au cours des derniers siècles, le lynx boréal a été lourdement
traqué, et a même été exterminé en certains endroits...
elephants
Les trois menaces directes pesant sur les éléphants sont la perte d’habitat (incluant la
détérioration et la fragmentation), les conflits hommes-éléphants, et surtout le braconnage, principale
menace pour le pachyderme.
Les coraux
Les récifs coralliens ont traversé des dizaines de milliers d’années d’évolution
naturelle. Pourtant, nombre d’entre eux ne survivra sans doute pas aux changements catastrophiques
déclenchés par l’espèce humaine qui pourraient avoir contribué à développer la vulnérabilité de l’espèce
face aux maladies.